LA PEYRADE MON VILLAGE

LA PEYRADE MON VILLAGE

L'usine à gaz

L'usine à gaz
L'usine à gaz :

 

Entrée de l'usine à gaz de La Peyrade

 Avenue Célestin Arnaud

(Source Daniel Escorihuela)





Commentaires

  • Maryline 314 messages

    Cette photo doit dater des années 60 ou 70.
    L'entrée a été refaite par rapport à la photo de l'intérieur avec ma mère en faction, la maison de gauche est plus pimpante, des arbres ont poussé.
    Mais le silo derrière les arbres est au même endroit que sur toutes mes photos.
    Il y avait un accès au canal de l'autre côté (voir la grande traîtrise de mon grand-père plus bas, 22.03.2013. Je me joue les Marcel Pagnol dans ses "Souvenirs d'enfance" quand il découvre que les adultes aussi peuvent -très bien- mentir).
    Je repasse sur l'autre photo.

    • Maryline 314 messages

      Daniel, pour la 3e fois, j'ai quelques photos familiales de l'intérieur que je voudrais partager avec Michèle (et celles et ceux que ça intéresserait). Merci de me dire comment je fais.

    • POUGET Maryline
      POUGET Maryline · 22 mars 2013

      Mon grand-père paternel, Pierre Pouget, était employé à l'usine à gaz et y avait un logement de fonction avec sa famille (ma grand-mère et leurs 4 enfants).
      On entrait par là et leur maison était à quelques mètres sur la droite.
      Il a dû prendre sa retraite en 1958 ou 1959 et ils en sont donc partis.
      On pouvait descendre jusqu'au canal de l'autre côté. J'étais toute petite (je suis née en 1954) et mon grand-père m'y amenait pour voir les crabes, le dimanche quand la famille se réunissait.
      J'ai appris des années plus tard que, pendant ce temps, les autres se régalaient de moules crues, que j'adorais déjà.
      Comme ils craignaient que je ne sois malade, mon grand-père se sacrifiait et, quand on revenait, les autres m'occupaient et lui allait dans la cuisine manger sa part.

      • CANO René
        CANO René · 18 décembre 2012

        J'ai toujours entendu dire que l'ouvrier, que l'on voit en train de peintre ou de fixer le panneau réclame (à l'époque on ne disait pas publicité) contre le pilier gauche de l'entrée de l'usine à gaz, était notre compatriote Eugène BLANC, tué pendant la campagne 39-40 de la deuxième guerre mondiale.