Ce fut une tragédie (38 39 )
Combien de tempêtes braverons nous encore,combien de linceuls porterons nous encore au tombeaux. Des sourires d'amis nous parlant d'amitié ,puis l'instant d'après leurs yeux se remplissent de l'armes quand il arrive malheurs, que cette vie est cruelle ,acceptons cette réalité implacable et subissons la vie.Pardonne a tous les tiens mais jamais a tes ennemis cars pour toi fils, ils n'aurons aucune pitié .
Passé et
avenir l'histoire se refait, tous ignorée de tous
Comme des chiens derrière le barbelé ((( la PEYRADE 1938 1939 avant leur déportation )))
Voilà le site ( le grand cercle rouge )
1938 39 Le 311 ème GTE ( groupement de travailleurs étranger , il était annexe de celui de Carnon )
1943 44 dépôt de munitions Allemand
1945 un camps de prisonnier Allemand
2023 appelez le comme vous voulez .
Deux liens sur ce camps prés de chez vous
http://resistance-genocide-landes.org/spip.php?article17
https://cprd-landes.org/biographies/myriam-miriam-mirijam-neuburger/
Myriam NEUBURGER 14 ans à Grenade s/ Adour arrêtée le 26 août 1942. La tragique odyssée de la famille NEUBURGER à travers l’Europe reflète le martyre juif sous la botte du nazisme triomphant.
Sally, le père, est né à Phillisburg en pays de Bade, juif et militant anti-nazi, il est une cible privilégiée. Il quitte sa ville natale pour Berlin où va naître Myriam en 1928.
Fuyant les persécutions, il va habiter Chemnitz près de la frontière tchèque, puis émigrer à Prague avec sa famille que les nazis occupent en 1938.
La famille réussit à gagner Paris, puis Grenade s/ Adour à l’exception du père qui est à Montpellier.
Le jour même où Pétain annonce la capitulation de la France il écrit à une amie de façon prémonitoire :
« Vous pouvez imaginer ce qu’une victoire hitlérienne signifie pour nous : LA MORT !!"
Dans un courrier précédent il parle de sa fille avec un brin de fierté
« Myriam est une fillette gentille et courageuse, elle est première de sa classe, elle est studieuse et assidue. Elle parle parfaitement le français ».
À Grenade s/ Adour, la famille NEUBURGER habite au 4 Rue du Soleil. Le père, après avoir connu en 1939 un camp de concentration de DALADIER – il est citoyen allemand donc suspect – va s’engager dans une Compagnie de Travailleurs Etrangers (CTE) transformée en Groupement (GTE) par Pétain et sera affecté à la 311ème Cie basée à LA PEYRADE près de Frontignan. Il réussira à plusieurs reprises à rendre visite à sa famille à Grenade.
Sally, le père, est né à Phillisburg en pays de Bade, juif et militant anti-nazi, il est une cible privilégiée. Il quitte sa ville natale pour Berlin où va naître Myriam en 1928.
Fuyant les persécutions, il va habiter Chemnitz près de la frontière tchèque, puis émigrer à Prague avec sa famille que les nazis occupent en 1938.
La famille réussit à gagner Paris, puis Grenade s/ Adour à l’exception du père qui est à Montpellier.
Le jour même où Pétain annonce la capitulation de la France il écrit à une amie de façon prémonitoire :
« Vous pouvez imaginer ce qu’une victoire hitlérienne signifie pour nous : LA MORT !!"
Dans un courrier précédent il parle de sa fille avec un brin de fierté
« Myriam est une fillette gentille et courageuse, elle est première de sa classe, elle est studieuse et assidue. Elle parle parfaitement le français ».
À Grenade s/ Adour, la famille NEUBURGER habite au 4 Rue du Soleil. Le père, après avoir connu en 1939 un camp de concentration de DALADIER – il est citoyen allemand donc suspect – va s’engager dans une Compagnie de Travailleurs Etrangers (CTE) transformée en Groupement (GTE) par Pétain et sera affecté à la 311ème Cie basée à LA PEYRADE près de Frontignan. Il réussira à plusieurs reprises à rendre visite à sa famille à Grenade.
http://resistance-genocide-landes.org/spip.php?article17
https://cprd-landes.org/biographies/myriam-miriam-mirijam-neuburger/