LA PEYRADE MON VILLAGE

LA PEYRADE MON VILLAGE

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 Batterie allemande Gneiseman

équipée d'un canon  à La Peyrade.





Commentaires

  • Minguez Daniel
    Minguez Daniel · 7 février 2014

    J'avais un chien on l'appelait bouboule, c'était un espèce de ratier noir et blanc ,il était con comme la lune , il n'écoutait rien , je crois qu'il était un peut comme nous .Un jour ,il est parti vers le bord de l'étang et comme tout n'était pas encore déminé, il a fait comme Genin,il a pété sur une mine , mais lui il n'a pas laissé qu'une patte ,il n'est pas revenu.. Alors tu comprend on ne pouvait pas aller barrouler la bas, il y avait bien des panneaux avec des tetes de mort,mais on nous avait dit que des fois peut etre il n'y en avait pas. Tu sais mon petit a cette époque mamé avait pas un rond et des fois pour manger ou pour se chauffer il fallait qu'on se démerde. Alors un jour je revenait a peine de la Haute Garonne ou on étaient réfugiés pendant la guerre , mes deux amis qui étaient revenus avant moi de la bas ,beh ! c'était peuchère ce pauvre dédé Sabatier et ce pauvre Antoine Escorihuela,tu vois maintenant ,il ne reste que moi...mon petit. Qu'est ce qu'on a put faire comme conneries tout les trois !! .A peine arrivé, les voila a la maison .
    ___Vient avec nous ,on vas ramasser du bois a la plage il y en a partout ,toutes les barraques des boches ont sautées avec le bombardement ,il y a du bois partout tous le monde en ramasse .!
    Et nous voila parti, effectivement arrivé la bas ,et beh !! tu vois aprés la première digue, la le bordel des trous de partout ,des Frontignanais en pagaille de la ferraille est du bois a la pelle . C'était immense et a un endroit ,,,je me rappelle plus ou ,,,il y avait un espèce de blockhaus tout creuvé, les deux autres étaient en train de farfouiller par la et moi je sais pas pour quoi, je te rentre la dedans ,et d'un coup ! j'ai rien compris !, un boum ! , je sais pas moi ,une grenade, ils en avaient télement pris sur les oreilles les boche qu'il devait y avoir de tout partout,,,,,et beh ! mon petit heureusement que les murs étaient épais,,,,tu serais pas la maintenant !,,,,,c'est pas ça ,je voyait rien une fumé noire mais noire ,je me touchait par tout ,et de hors j'entendais les deux autres gueuller , Josephhh couchee toiii couchee toiii , je te suis sorti de la dedans comme un lapin du son trou, dehors un fumée noire , et les deux autres étaient couchés par terre en train de crier , on en a certainement du attraper la cagagne , tu vois j 'était ensourdé comme quand on te tire un coup de fusil a coté des oreilles ,elles m'ont siffées un moment ,écoute tu crois pas que les gens se sont tournés ,et beh on a ramassé notre bois et est revenus le lendemain .
    Tu sais on était petit ,je me rappelle comme si c'était hier , tu vois mon petit comme je suis maintenant ,on est moins nombreux et maintenant on péte les un après les autre....Silence...

    • MINGUEZ Daniel
      MINGUEZ Daniel · 2 octobre 2013

      L'être humain est cruel et égoïste, il est plus facile de faire le mal ,parce que pour faire le bien il faut se forcer

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 2 octobre 2013

        1939..1945
        L'hiver etait froid une bise glaciale qui gerce et vous brule les joues et les levres .Les pieds et les doigts engourdis a la limite des engelures .Sortant d'une maison, tout jute chauffée a la seule chaleur d'un petit poele a charbon,alimente par quelques morceaux de coke récupérés la veille prés de l'usine a gaz .A la maison la grand mère, les parents ,encore quatre garçons et quatre filles ,un parti faire sa vie un autre prisonnier en Allemagne.La nuit entassés dans trois pièces, on se réchauffe les un contre les autres ,les plus petits dorment avec les parents.
        Le matin on se rend a l'école .Avant tout jute un bol d'eau chaude avec quelques feuilles de verveine ,une croute de pain peut etre, pas de sucre , c'est fade mais c'est chaud et c'est bon......................

      • l
        l MINGUEZ Daniel · 2 octobre 2013

        Une cape fabriquée sur le dos un tricot étriqué déja trop petit .on attendra de le faire passer a un plus petit peut etre l'année prochaine.Tout s,économise les chaussures ne sont pas adaptées déjà trop petites ou trop grandes . Ils sont vifs et encore joueurs , ils sont rudes mais il ne faudrait pas que ca dure . Les genoux cagneux les jambes maigres, les chaussettes à mi mollets, on ne connait pas les pantalons, ils ont froids et ils ont faim . Il faut attendre midi et esperer un peu que cette petite femme pleine de vie de caractere et de volonté leurs trouvera un peu à manger . C' est Marie Jesus c'est la mère . Quelques rhizomes de rutabagas et de topinambours que l'on pioche dans le jardin contre le grillage de la vigne . Ces fleurs jaunes en été sont comme des soleils en hiver. Ces racines sont bouillies et bleuissent à la cuisson, parce qu'elles sont trop vieilles et dures ce n'est pas la saison , un peu de sel et ça fera. Comme une lionne ils comptent tous sur elle . Elle ne se plaint jamais mais peut etre elle pleure, il faut que ses petits mangent et survivent et demain on verra...........................

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel l · 2 octobre 2013

        Aujourd'hui peut etre ils auront un peu plus de chance . Une poignée d'arachides , quelques patates volées ou mendiées aux troupes d'occupation , mais il faut au delà de la Bordelaise ou se trouve les hangars et les stocks des boches . Sur le quai de l'appontement une centaine de personnes attendent là , c'est la seule source de nourriture . Beaucoup de Lapeyradois et quelques personnes de Balaruc . Ils attendent là que quelques arachides tombent pendant le transit du caboteur sur les quais , le ponton n'est pas grand les wagons, la grue et tout ce monde. Le froid est vif et la journée est longue . Les soldats vert de gris , crient et menacent on ne comprend rien mais on se doute . Il y a aussi une gendarmerie qui moleste et qui sevie, eux sont Français . On est en guerre peut etre des Péténistes ils ne savent pas eux memes comment ils seront mangés alors !!!
        Bon dieu ! un équipage Espagnol , les petits se faufilent leurs parlent en cette langue c'est celle que l'on parle à la maison . Venant d'Afrique sur un petit cargo il est plein d'arachides . Ce soir ils mangeront une purée a l'eau ils se caleront le ventre et pourront dormir un peu , ils rèvent de pain de confiture et de beurre . D'autres ont moins de chance ils attendent le père parfois tard dans la nuit pour voir ce qu'il a pu trouver . C 'est la débrouille on est habitués . Il y a le couvre feu , meme dans le noir de la nuit la garde est là et nos gendarmes aussi un ancien de notre quartier qui était gaillard à l'époque se fit pointer l'arme d'un de ces derniers sur la poitrine il se débattit et lui donna une correction l'autre ne fit rien . On le rechercha en vain mais il n'y eut pas de suite car dans la nuit !!!!!!!
        Le samedi un os salé et bouilli on y mettra quelques patates ou ce que l'on trouvera . Tout le monde est autour de cette marmite d'eau bouillante , attendant que des yeux de gras remontent en surface . Cette odeur de moelle leurs rappellent peut etre un bon potage ce n'est qu'un mirage . Aujourd'hui on mangera gras ..............

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 2 octobre 2013

        Il les ont mendies aux Italiens encore allies aux Allemand . Ils sont toujours victorieux.
        Sur les voies de garage en face du village , des convois .Ils attendent la deux heures et partent .Ce sont des convois de vivres et de troupes.Les convois de sanitaires pour les blesses sont tout blanc , ils passent a vive allure tout comme ceux d'armement.Pour les vivres les gardiens sont Italiens ,les wagons frigos a l'arrèt il ouvrent les portes .Ils sont plein de carcasses de boeufs.Les gardiens étaient vaniteux et gonflaient leur poitrines ,ils étaient très jeunes.
        Les enfants sont rèveurs. Ils s'approchent et se rapprochent de trop prés ,ils les repoussent,on leur cris des mots méchants et haineux ,ils ont faim .Des fois un plus "`humain " leurs jettent au sol comme ont donne a des chiens,dix kilos d'os des pointes de cotes toutes décharnées et a peine teintées de viandes. Ils rient ris et se moquent.Ils sont toujours vainqueurs.On les mais dans des sacs de toile de matelas confectionnés par la mére tout le monde en a au moins deux ,on ne sait jamais ce que l'on peut trouver ,tout est bon a manger.Plein on les cache par la dans les canne set on attend un autre convois Ils éspérent du pain ou un morceau de saucisson Allemand .Ils sont les trois plus petits de la famille le plus jeune neuf ans le plus vieux quatorze ans .Ils ne sont pas les seuls , des Laperadois pour certain pour les petit l'union fait la force.Ce soir on les ramènera a la maison .Le père les coupe en morceaux de dix centimètres les sale et les aligne dans une caisse en bois qu'il a fabriqué Ils passeront au moins cet hiver..............................

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 3 octobre 2013

        Le printemps arrive mais c'est la guerre plus dure et plus cruelle .On est en 1943 , les tickets de rationnement ne suffisent plus , les étagères sont vides, des fois les boulangeries et les épicerie sont fermées ,il n'y a plus rien a vendre,il n'y a plus rien.Meme sans le vouloir on travaille pour eux , ils sont chez eux ces Allemands , peut etre que meme le meilleur d'entre eux ne vaut rien .On ne sait rien ou presque de ce qui ce passe la bas, notre inconscience d'enfant nous permet de ne pas avoir peur.Il n'y a pas encore ici des bruits de guerre que des mots .on doit etre a peut prés 300 a Lapeyrade , ils sont plus que nous , ils ne manquent de rien, sauf leur pays et leur familles.autour du village il y en a de partout , des camions plein de nourriture s'arretent dans le village ils sont plein de pain on le sent et des fois on les distingues sur les cotes lorsque les baches sont entrouvertes........................

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 3 octobre 2013

        Ils se retrouvent la une dizaine d'enfants autour de ce fourgon se rapprochent, les soldats sont jeunes 18 ce ne sont pas des SS mais ils sont arrogant .Les enfants se faufilent et a force de ruse arrivent a leur voler un pain ces cons ne pouvaient pas etre par tout.Les parents ne peuvent plus assurer ,on apprend qu'il est possible de les placer dans des familles dans des fermes dans la Haute Garonne, on en placera au moins trois ,au moins ils mangeront , ce sont des réfugiés , ce ne sont pas les seuls ,il y en a d'autre du village.Ils on 13 ou 14 ans et il faut qu'ils travaillent, des fois ils tombent mal .J'ai mange des oeufs a m'en faire crever dit il. Ils travaillent a la ferme ou dans une boulangerie , il faut qu'ils fassent leur journée , ce sont des enfants.Ils languissent le retour , des fois la mére vient les voir ,c'est loin et c'est cher.On préfère revenir a la maison tant pis .En bas tout est miné les vignes les garrigues on leur dit ça. Ils se contentent des bords des chemins des salades sauvages et du bord du canal la ils pourront attraper des muges et des anguilles ,il n'en maque pas maintenant ,un peut de proteines fris ou bouillis on verra......................

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 5 octobre 2013

        Il me raconte ces histoires, et je fais semblant de les découvrir comme a chaque fois .Il s'arrete parfois, sa gorge se serre, il se frotte les yeux , surtout quand il parle de sa mere et de sa petite soeur qu'ils ont perdu en 1943 a l' age de 11 ans.La faim la peur et la mort.Je suis ému et il le voit. Je lui dit des choses pour le faire rire ,il aime bien ,Tu a la connerie dans la tete mon petit ,me dit il, c'est comme ça qu'il m'appelle.
        Le jardin est grand mais il faut que sa pousse c'est long et c'est pas assez ,cet ete il faudra sauter dans les enclot pour nous c'est un jeu ,on fera la pique - oreille .On attendra la nuit et le fera a la barbe du propriétaire et surtout des patrouilles allemandes.Elles sont bruyantes,on entend de loin le bruit des bottes on avait le temps de se cacher et de les regarder passer.La nuit etait noire pas de lumieres ,la montée de Reboul etait notre territoire des jardins des enclos et pas de mines . Un jardinier du village ,le matin repiquait des choux , le lendemain ils étaient dans notre soupe .Les abricots et autres fruits étaient choisis a taton ,ils étaient presques verts , des fois on ce retrouvait 7 ou 8 , c'etait une tradition et un jeu la pique-oreille..................

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 6 octobre 2013

        Au vieux pont,il y avait une guérite avec trois ou quatre soldats des sentinelles ,des habits vert olive des bottes bien cirées et un fusils sur l'épaule .Les petits sont la devant et attendent ils badent .Des fois des vieux soldats regardent ces petits du village,ils les plaignent, ils pensent peut etre aux leurs.Un leurs dit doucement en regardant de part et d'autre ,allemand russie capout chut en mettant son doigt sur la bouche, il m'était un bon morceau de pain sur le bord d'une espece de table et se retournait .Mais tous dans le village allaient comme chez eux .Certain jeunes plus vieux que nous de quelques annees et qui se s'entaient vainqueur nous prenaient pour des merdes. Au moment de midi ils mangeaient gras et bon .On etait assis a quelques metres devant comme des chiens , mais nous on aurait pas remue la queue on les aurait mordu.Ils mangeaient le melon et nous jetaient les peaux . on les grattait avec les dents pou décrocher un peut de chair .Ils riaient et nous filmaient avec une petite camera, des trophées de guerre. Nous voila maintenant en 1944 et les bombardements ...............

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 12 octobre 2013

        Ils ont ete intensifs sur les zones des usines a petrole de Frontignan et de Balaruc . Une premiere vague sur Frontignan , une deuxieme sur Sete et Balaruc.Dans la matinee le bruit des sirenes , ça te glace les os,ils venaient de la mer, et ont bombarde d'abord Frontigan ,pape etait sur le toit et regardait avec ses jumelles ces avions.Les explosions,le sifflement des bombes la fumee le feu la poussiere ,l'odeur de l'essence et de tout .Je ne me souvient pas trop et le temps que ça pu durer . Les ecoles avaient ete evacuees .Ils etaient dans le ciel petit comme des moustiques,puis apres le silence encore des explosions et surtout cette odeur.La debacle commence ils passent dans les maisons et prennent tout ce qui peut rouler ,velos carrioles , ils sont partis comme ils sont venus.Pour nous la guerre etait fini.
        Enfin le huit 8 mai 1945 la derniere bombe tombe sur l'Allemagne,nous somment en fin victorieux .Tout reprend le cours de la vie , les prisonniers reviennent ,les usines retravaillent normalement .Il faut regler les comptes .Les vrais maquisards ,les faux maquisards ,les exploiteurs les profiteurs ,les peut etre pro Allemands, maintenant les plus Allemands du tout , les balances et toutes les histoires ,et nous maintenant on pouvait trainer de de partout. Il y avait au village quelques prisonnier Allemands qui faisaient quelques travaux d'interet public,ils etaient tranquilles et devaient rentrer le soir au cantonnement a l'appontement .. Il faudra attendre au moins un an pour que tout redevienne normal . Au milieu de tout ça nos familles qui ont souffert et pleuré en silence, certaines des enfants, d'autres la faim ,et d'autres les deux.
        Ce sont des hommes maintenant , il y a du travail pour tout le monde .Il rentrera a l'usine et travaillera pour lui .
        Il regarde maintenant cette petite qui habite au bout de la rue , il connait bien tout ses freres ce son ses copains . Ce n'est plus la petite fille qui le regardait de derriere le grillage, maintenant c'est presque une femme...... et apres tout pourquoi pas!!.Plus tard ils auront un petit et ce petit ce sera moi.

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 12 octobre 2013

        Hommage aux familles de notre cartier et ceux de la rue Pierre Brossolette annees 1960.
        Escorihuela ,Bonneric, Jammes ,Bouat ,Sorribes ,Christol ,Laurent ,Fourti ,Laprade, Schiaffino Gorlet ,Parpere ,Cros ,Roques,Hernandez, Monzo, Subirats ,Corsi ,Minguez ,Huillet ,Beintein, Bresson ,Toudic, Barale, Ortis,Gionta, Bonzi, Lisarde, Gaeta, Suarez,Pezzoti, Lupino, Riviere, Omarini, Mattia, Buil, Albaredes ,Dadies ,Panis ,Orsola , Barissonni, Allent , Boluda, Ripolles ,Granier,Murria , Lardat, Molinier, Laurent ,Terme, Guagliano ,Cassar, Bertolini, Martinez , Madame Boulet concierge de la cité Marcou et peut être bien d'autres noms oublies.Il faut excuser l'orthographe ce sont des souvenirs.

      • la peyradois
        la peyradois MINGUEZ Daniel · 13 octobre 2013

        A la fin de la guerre, mes grands parents maternels habitaient au fond de la rue de la Somme, les allemands en pleine débâcle récupéraient tout ce qui pouvaient leurs servir comme moyen de locomotion. L'un d'eux s'est présenté chez mon grand père et dans un langage approximatif lui a demandé un vélo. Mon grand père l'a amené dans sa remise afin de lui proposer un vélo tout rouillé pendu à la poutre de cette remise. Ce vélo n'avait pas fait un seul tour de roue depuis des dizaines d'années. Voyant cela l'allemand reparti déconfit...à pied.

      • la peyradois
        la peyradois MINGUEZ Daniel · 12 octobre 2013

        Merci pour eux Daniel, des pensées à tous ceux qui nous ont quitté...

      • la peyradois
        la peyradois MINGUEZ Daniel · 12 octobre 2013

        Merci Daniel...et Joseph

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 3 octobre 2013

        Les guerres sont organisées par les puissant et leurs richesses, par la soif du pouvoir le combat est l'aboutissement de l'incomprehention de leurs actes .Eux seul ont peur parce qu'ils ont tout a perdre .
        Les pauvres pour eux nom rien a perdre ,sauf la liberté et la vie .Ils se taisent la subissent et la font (M.D)

      • MINGUEZ Daniel
        MINGUEZ Daniel MINGUEZ Daniel · 2 octobre 2013

        aaaaaaaa