LA PEYRADE MON VILLAGE

LA PEYRADE MON VILLAGE

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 Autobus des Courrier du Midi

durant les années 1970





Commentaires

  • dedou (visiteur)
    dedou (visiteur) · 26 mars 2013

    Le rammage scolaire commenc si mes souvenirs sont justesvers1956/57 et c'est les cars Gineste de Sète qui font le ramassage car avant c'est à vélo que nous allions au Cours Complémentaire de Frontignan car ce n'estque vers 1960que cela s'est appelé Collège d'enseignement Général.Même les filles comme Régine Ripollès et Maguy Bouat faisait le trajet à vélo.Nous les garçons on se réunissait (Robert Capdeville Elie Mattia et d'autres que j'oublie)et on partait tous ensemble au passage on prenait aux villas de Lafarge face au cimetière Hilarin et Lallemand cela entre 1954et1957.

    • POUGET Maryline
      POUGET Maryline dedou · 26 mars 2013

      C'est vrai que ça nous paraissait d'un autre âge, le vélo pour aller à Frontignan ou à Sète, mais ce n'était pas si vieux que ça finalement, à mon époque !!!

      Ma tante (née en 1926) me disait qu'ils se mettaient du papier journal l'hiver, en plusieurs épaisseurs, sous les vêtements pour faire coupe-vent pour pouvoir résister quand ils passaient le pont de LP pour aller à Sète.

  • Daniel du blog
    Daniel du blog · 25 mars 2013

    Il me revient des souvenirs de collégiens à Frontignan, ou malgré 'avoir payé l'abonnement au Courriers du Midi, le bus de ramassage scolaire nous oubliait souvent le mardi, et nous devions revenir à pied du collège Anatole France de Frontignan, jusqu'à La Peyrade , n'ayant pas à cette époque de voiture.

    • POUGET Maryline
      POUGET Maryline Daniel du blog · 25 mars 2013

      Tu devais traîner, non ?
      En 4 ans ça ne nous est jamais arrivé.

    • Daniel du blog
      Daniel du blog POUGET Maryline · 25 mars 2013

      Maryline, je te confirme que souvent le bus surtout le mardi ne passait pas nous prendre, et on rentrait a pied.

    • POUGET Maryline
      POUGET Maryline Daniel du blog · 25 mars 2013

      Mais ne t'énerve pas !!!
      On a quoi, 2 ou 3 ans d'écart ? Le service s'était peut-être détérioré entretemps.
      C'est très grave, s'il vous était arrivé quelque chose, et puis l'hiver ou sous la pluie.
      Vos parents n'ont pas réagi ?

    • Daniel du blog
      Daniel du blog POUGET Maryline · 25 mars 2013

      Si mes souvenirs sont bons, certains mardi le bus censé être utilisé pour le transport scolaire était utilisé pour la ligne normale, donc inexistant pour les petits La Peyradois, les parents ont gueulé mais le résultat n'a pas été mirobolant.

  • POUGET Maryline
    POUGET Maryline · 24 mars 2013

    Comment qualifier ce que faisaient les garçons quand le car du ramassage scolaire arrivait de Sète, le matin et en début d'après-midi, pour nous amener au collège à Frontignan ?
    Pendant mes 4 ans de collège (de septembre 1965 à juin 1969), 2 fois par jour (on était nombreux à ne pas rester à la cantine), c'était un enchevêtrement de jambes, de bras, de cartables et de visages hilares, façon bagarre de village dans Astérix.
    Le car arrivait, le chauffeur ouvrait la porte, ou arrivait déjà porte ouverte, et c'était la ruée.
    C'était juste pour le plaisir parce que la moitié arrière était, de toute façon, pour les garçons et la moitié avant pour les filles.
    De rares fois, le chauffeur n'ouvrait pas la porte, faisait reculer les garçons (ça prenait un certain temps, c'est pour ça que ce fut rare !) et nous pouvions passer les premières entre 2 rangées de petits coqs goguenards et frustrés.
    Ça devait exister avant, avec d'autres générations de collégiens La Peyradois, et ça a dû continuer après, mais ils ne se sont jamais lassés, comme nous ne nous sommes jamais lassées, en 4 ans, de rire au spectacle, ceci expliquant peut-être cela?

    Pendant les 3 ans de lycée à Sète (de septembre 1969 jusqu'au bac en juin 1972), on prenait le car avec les particuliers, donc pas de bataille possible.
    Mais, le lundi matin, certains de notre petite bande arrivaient éclopés, avec des hématomes un peu partout : ils avaient eu un match de rugby la veille avec leur équipe de Frontignan.
    Je pense qu'ils ne s'inscrivaient que pour la castagne, plus virile celle-là, et étaient tout amochés mais ravis et défoulés jusqu'au dimanche suivant !